Seul, mais pas pour longtemp

Je me levais se matin d'un terrible sommeil où j'avais pensé à am solitude si triste mais pourtant j'arrivais à la vivre. Je me demandais quelques fois comment je faisais pour vivre cela. Même si je n'osai pas le dire cette solitude me tromatisait, elle me faisait peur, je n'osai pas l'affronter de face, c'est pour sa que personne ne savait à quel point j'étais désespéré. J'avais fait peu de rencontre féminine sans me faire traiter de malpoli ou de salop. A vrais dire je n'aimais pas ces paroles, à chaque fois pourtant on me les ressortaient. J'avais peur de ma solitude, mais en sortant de mon repaire que je trouvais petit au file du temp. Je sortais dehors je ne voyais personne à l'horizon, sa tombait bien car je ne voulais voir personne. Mais je ne sais pas pourquoi une terrible envie d'aller à Suna. Peut-être personne ne sera dans la rue même si cela m'étonnerais. Je me dirigeais donc dans cette grande ville du nom de Suna. Là-bas de nombreuses personnes étaient dans les rues, je ne m'y sentait pas à mon habitude. Au bout d'un moment une fille magnifique au cheveux blonds passait, elle était magnifique je ne pouvais m'empêcher d'aller à sa rencontre. Elle était si belle, on aurait dit un ange. Son épouvantail derrière elle pouvait la faire voler tellement que sa beauté était magnifique. Je venais devant elle mais les mots ne voulaient pas sortirs de ma bouche, j'insistais un peu mais le stresse, ou plutôt ma timidité m'en empêchait. Je réussis tout de même à lui dire :

Bonjour,........ Je ........ Suis Rykku ......... Je vous trouve très .......

Le dernier mot n'osait pas sortir lui, j'insistais croyant que ma solitude allait s'arrêter maintenant. Lorsque je dis le mot je paraissais tout à coup timide mais comme c'était inimaginable.

Je vous trouve très jolie.

Je me retournais avec une boule au ventre, elle me faisait mal, mais je restais face à cette jolie demoiselle face à moi. Je n'aurais jamais pensé être aussi timide. J'attendais de savoir si elle allait me répondre ou si elle allait tracé son chemin.

Je me levais tôt comme tout les matins, ma chambre était déjà inondée par le soleil, je pensais à hier soir...

*Flash Back*

Je passais dans les rues de suna, il faisais nuit mais le ciel constellé d'étoiles projetais une douce lumière, c'est vrai que le calme de la nuit étais apaisant... Je m'étais allongée dans le sable afin d'admirer le ciel, et l'astre des nuits je me souvenais d'une parole de ma mère « Quand je ne serais plus avec toi, à chaque fois que tu regardera la lune, je penserais à toi et tu pensera peut être à moi » elle avais souris a ces paroles. Une larme avais coulée sur ma joue, mais ce n'étais pas de la tristesse, plutôt de la nostalgie. Puis j'avais pensé au futur, à mes objectifs, et aux choix que j'avais faits, à ceux que je devrais faire...le résultat ? Eh bien...je pense que c'est un crime de se poser autant de questions, je vivrais donc au son du « carpe diem » (cueille le jour en latin) sans jamais regretter le passé.

*fin du flash back*

Je soufflais un bon coup, comme je savais si bien le faire, aujourd'hui c'était jour de fête à Suna.
Le début de la saison des feux d'artifices, je m'habillais et sortais de chez moi, dans la rue c'était déjà la folie, tout les commerçants était en train d'installer leur stands, leur marchandises, les enfants couraient de partout. La fête commencera dès qu'il fera nuit. En attendant je me promenais dans les rues de la ville, j'allais acheter des fleurs pour décorer mon appartement un peu trop triste a mon goût, puis me dirigeais vers l'épicerie, mais au bout d'un moment j'entendis juste derrière moi une voix qui disais :
-Bonjour,........ Je ........ Suis Rykku ......... Je vous trouve très .......
Je ne savais pas a qui s'adressait cette personne, mais je m'arrêtais tout de même pour constater qu'il s'agissait d'un jeune homme et qu'il me parlais bien à moi, il avais l'air très gêner, mais je n'en faisais pas une formalités puis il ajouta, comme si les mots avais du mal à sortir :
-vous trouve très jolie.
Je restais muette, tout d'abord je cru avoir mal entendu puis, mon subconscient me disais « eh pourquoi pas ? » je souris :

-Bonjour, merci du compliment, je m'appelle Temari Sabaku No...enchantée.

A ce moment là tout les gens autour de moi avais disparus, la seule chose que j'espérais c'était de ne pas avoir l'air trop ridicule si ça n'étais pas à moi qu'il s'adressait. Il faisais beau et c'était le début d'une belle journée.

[HRPG] Je n'ai pas un « épouventail » dans le dos Rykku xD

J'étais face à elle, debout, j'attendais, je croyais que elle allait tracé son chemin comme le faisaient de nombreuses personnes, mais elle, elle s'arrêtait, elle me fixait. Ses cheveux blonds magnifique qui me laissaient sans voix. Elle me faisait un grand effet. Tout à coup elle ouvrit la bouche, sans partir.
Bonjour, merci du compliment, je m'appelle Temari Sabaku No...enchantée.
Elle m'avait parlé, sans dire de méchanceté, sans me regné. Elle avait dit qu'elle était enchanté, un sourire apparut sur mes lèvres. Pour une fois, une femme que je rencontrais dans la rue ne m'envoyait pas bouler. J'étais un peu heureu de savoir qu'elle m'avait adressé la parole. Je devais lui répondre quelque chose. J'étais obliger de répondre, mais que dire, cette femme était parfaite. Je réfléchissais à quelque chose d'intelligent à dire mais rien ne me venait à l'esprit. Lorsque tout à coup les mots me venaient tout seuls.

Merci de ne pas être partis. Je suis désolé d'être si direct mais je vous trouve si jolie, votre visage est plus beau que celui d'un ange. J'aimerais passer ma vie à vous regardez.

Tout à coup je me taisais, je ne pouvais rien dire d'autre. Je ne savais pas comment j'avais fait mais j'étais devenu amoureu en quelques minutes. Je regardais toujours son visage, sachant qu'elle était belle et qu'elle pouvait encore tracé son chemin je décidais d'en profité. Je la regardais droit dans les yeux avec son évantail derrière elle et sa magnifique chevelure, les feux d'artifices continuaient à pété et tout les deux nous tournions la tête pour ne surtout pas manquer un seul de leurs bruyantes explosions. Lorsque je retournais ma tête j'étais plus proche d'elle et nous nous regardions droit dans les yeux; je me demandais si elle allait dire un mot ou si elle allait tout simplement laisser ses expression s'exprimé.

Il me regardais, un sourire ce dessina sur ses lèvres, les feux d'artifices n'allais pas tarder à faire retentir leurs explosions. J'adorais cette saison, en fait, j'aimais toutes les saisons, car à Suna il y avais peu de différences entre l'été et l'hiver, les seules différences étais l'état des arbres, les prisonniers a Suna ne pouvais suivre les saisons que s'il y avais un arbre devant leur cellule, ce qui étais très rare, les fleurs pour le printemps, les feuilles pour l'été, le rougeoient pour l'automne, et la nudité pour l'hiver. La nuit étais tombée, je regardais le ciel lorsque Rykku dit :
-Merci de ne pas être partie. Je suis désolé d'être si direct mais je vous trouve si jolie, votre visage est plus beau que celui d'un ange. J'aimerais passer ma vie à vous regardez.
Le premier claquement du feu d'artifice avais retentis, je me tenais devant l'épicerie, a côté de cet étranger, et pour tout dire ça ne me faisais rien de spécial, j'étais simplement contente, la vie est faite de petites choses qui illuminent le quotidien, ces choses il faut savoir les voir et les apprécier car, c'est quand on ne les a plus qu'on se rend compte de leur valeur, moi je pensais que j'avais de la chance, la chance d'apprécier ces moments. Je repassais chacun des mots qu'il avais prononcé, avant de réaliser le sens de la phrase, je me tournais vers lui et m'apercevais que nous étions beaucoup plus proche que je ne le pensais. Il me regardais droit dans les yeux, et moi malgré la nuit je voyais son regard, un regard ...je ne saurais pas comment le qualifier, peut être qu'il étais profond, mais ce mot me paru tout de suite si futile, en réalité je pense qu'il n'y avais pas de mot pour décrire cela.
Je retournais la tête vers les milles et unes lumières projetées dans le ciel, on aurais pu ce noyer dans son regard, je respirais un bon coup puis brisais le silence.
-Dis moi Rykku, qu'est-ce qui t'amène à Suna ?
La seconde qui suivais je regrettais déjà d'avoir briser le silence pourtant si parfait, de cette nuit si parfaite.

Je la regardais toujours droit dans les yeux, elle me regardait aussi, j'avais peur de sa réaction, elle pouvait tracé son chemin, mais elle ne le fit pas, je me demandais toujours si elle m'aimait bien, j'éspérais que c'étais le cas. Moi j'aimais beaucoup cette jeune femme face à moi, les yeux dans les yeux. Ces cheveux blonds que elle devait souvent coiffer me donnait envie de l'aimer encore plus que une femme normale. En plus d'être magnifiquement coiffer sont style et sa coorpulence était elle aussi magnifique. Mon coeur battait très fort, je n'avais jamais ressenti sa hors d'un combat, l'aimais-je ? Je pensais à cette évidence j'y croyais, ce silence le prouvait, mon coeur voulait s'exprimé mais ma timidité et ma peur de la faire fuire m'en empêcher. Lorsque tout à coup ses magnifiques lèvres bougèrent, puis elle créèrent des mots que j'écoutais avec beaucoup d'attention.
Dis moi Rykku, qu'est-ce qui t'amène à Suna ?
Je réfléchissais mais je n'avais pas beaucoup de raison j'étais surtout venu pour avoir le calme mais j'avais oublié que Suna était en jours de fête aujourd'hui. Je cherchais une raison mais mon manteau prouvait le contraire, sauf si elle ne connaissait pas l'histoire de cette organisation. Alors je cherchais, plusieurs idées me venaient à l'esprit mais j'opta vers une beaucoup moin imaginé. En faite je dis tout à coup :

Euh, je voudrais vous dire d'où je vien mais mon maître me demande de ne pas le dire, ce que je peux vous dire est que mon organisation à de mauvaise attention et que elle se nomme Akatsuki, c'est tout ce que je peux vous dire, mais savoir pourquoi je suis venu ici est quelque chose de très bizarre. Je voulais me retrouver seul, je pensais justement à ma solitude, malgrès que j'ai était un des meilleur ninja de Iwa, j'ai peur de vivre ma vie seul. J'éspére que vous me comprenez. Mais j'aimerais que la femme dont je parle, celle qui me rendra plus seul, mais avec quelqu'un. J'éspérais que elle elle pourait être vous.

J'attendais ce qu'elle avait à dire avec impatience mais j'éspérais que sa réponse ne serait pas trop blessante, même peut-être qu'elle soit positive.

Il faisais nuit depuis un bon moment, la lune étais pleine et brillais d'un éclat blanc, pur. Les feux d'artifices avait cessé par un magnifique bouquet final, et la fête avais commencée, j'attendais la réponse de Rykku sans trop vraiment l'attendre d'ailleurs, car après tout, nous n'avions pas besoin de parler pour mettre de l'ambiance ou quoi que se soit d'autre, c'était juste bien comme ça. Je le voyais qui réfléchissais, je savais qu'il ne faisais pas partis d'un village, qu'il étais nunkenin, j'avais vu son bandeau et sa tunique également...Peut importe ce qu'il dirais car cela ne changeras pas mon comportement. Puis il répondis :

-Euh, je voudrais vous dire d'où je vien mais mon maître me demande de ne pas le dire, ce que je peux vous dire est que mon organisation à de mauvaise attention et que elle se nomme Akatsuki, c'est tout ce que je peux vous dire, mais savoir pourquoi je suis venu ici est quelque chose de très bizarre. Je voulais me retrouver seul, je pensais justement à ma solitude, malgré que j'ai était un des meilleur ninja de Iwa, j'ai peur de vivre ma vie seul. J'espère que vous me comprenez. Mais j'aimerais que la femme dont je parle, celle qui me rendra plus seul, mais avec quelqu'un. J'espérais que elle elle pourrait être vous.

Eh bien, c'est vrai que je ne m'étais pas attendue à ça mais sa ne me faisais toujours, ni chaud ni froid. Il avais dit « Akatsuki »... « Aka » signifiais rouge, et « Tsuki » lune, c'était un jolis nom pour une organisation ayant de mauvaises intentions...A bien y réfléchir, la lune est belle mais le rouge représente le sang, « Akatsuki », peut être la lune rouge, mais cela signifie aussi « l'aube ».
Pour moi la lune étais blanche, et pure, Akatsuki devais être rouge, souillée de sang.
Je m'intéressais ensuite à la fin de sa phrase...C'est vrai que je me sentais bien avec lui, et qu'il m'attirais...peut être un peu...Je devais bien l'avouer, mais n'était-ce pas un peu tôt ? Et puis les souvenirs de mes réflexions de la nuit dernière me revinrent en tête...les questions sont futiles, pour moi, que l'on compare tant au vent, je devais vivre comme cet élément, libre aller et venir à ma guise sans contraintes, et les questions sont des contraintes de poids. Je souris et levais la tête, je parlais tout en regardant la lune, astre qui guide les songes des voyageurs de la nuits.

-Je vois...tu aime le calme...et pourtant la solitude c'est déprimant non ? Je ne comprend pas comment ça ce fait que tu sois si seul, tu est gentil...
Tu vois la lune ? Elle est calme, et douce, on pourrais croire qu'elle est seule, et pourtant il y à plein d'étoiles avec elle. Tu est un peu comme elle, seulement il te manque des étoiles, et si tu veux bien je deviendrais l'une d'elles...

Je n'avais pas vraiment répondu à sa question qui étais sous entendue, mais peut être qu'il comprendrais que, moi aussi, c'était sous-entendu. Je ne le regardais pas, peut être pensait-il que j'étais devenue folle, cette pensée me fis sourire presque rire. J'attendais qu'il me réponde, dans le calme de la nuit, avec quelques musiques de la fête en fond.

La nuit était présente, le bouquet final avait retentit et on n'entendait plus que le bruit des personnes trimballant leur feu de bingualle dans les rues en chantant et rigolant, c'était la fête pour eux, moi par contre c'était la fête pour mon coeur, une fille m'avait adressé la parole, elle ne m'avait pas repoussé, j'étais content. Cela m'avais suffit, mais j'en éspérait plus, comme tout le monde sur terre, j'aimerais passé ma vie avec une femme, elle elle était la femme qu'il me fallait, elle était unique, et c'est sa qui me faisait peur, car vue sa beauté, elle devait être innondé de demandes. Je voulais que ce soit moi l'heureux élu, mais cela devait être très dure d'être ce petit chanceu. J'éspérais tout de même être celui-là, je la regardait toujours droit dans les yeux, nous étions proche et nous parlions doucement. Mon coeur me demandait de coller mes lèvres contre les siennes mais ma tête me disait d'attendre ce qu'elle avait à dire, devais-je écouté mon coeur ? Je ne le fis pas car mon coeur était beaucoup trop directe et surtout que je n'étais pas comme sa habituellement, devant les femmes je suis plutôt timide et non zen. Tout à coup lorsque je l'a fixait je voyais un petit signe qui me disais que elle allait parlé. Ses lèvres si peu maquillé mais pourtant si belle bougaient tout à coup et formèrent des mots. CEs mots formaient des phrases que j'écoutais comme si c'était la chose la plus importante au monde. Tout à coup elle dit :
-Je vois...tu aime le calme...et pourtant la solitude c'est déprimant non ? Je ne comprend pas comment ça ce fait que tu sois si seul, tu est gentil...
Tu vois la lune ? Elle est calme, et douce, on pourrais croire qu'elle est seule, et pourtant il y à plein d'étoiles avec elle. Tu est un peu comme elle, seulement il te manque des étoiles, et si tu veux bien je deviendrais l'une d'elles...
Si j'avais bien compris toutes ces métaphores magnifiques. Elle parlait si bien, elle me séduisait surment, je ne pouvais rien faire la tentation de ce que disais mon coeur était trop intense, dans le silence le plus total, après quelque temps, la fête continuait de se déroulé je posa mes lèvres sur les siennes, puis une deuxième fois, en les décollant je ne dis rien, le silence et mes mouvements que j'avais fait avait répondus à toute demande, elle m'avait proposé de devenire comme une étoile pour la lune et moi j'avais accépté en lui donnant ce baiser, je ne fis pas de métaphore comme elle mais je l'embrassa comme je ne l'avais encore jamais fait.

Pendant un instant j'avais cru que le temps c'était arrêté, les musiques avais cessé, les gens s'étaient tus, le vent s'était calmé. Il n'avais pas parler mais, parfois les paroles sont futiles, autant que les questions. Un geste simple et qui pouvais remplacer les plus beau vers, je n'avais aucuns doutes, un lien fort s'était créer entre nous, en si peu de temps ? Aussi étrange cela puisse paraître, cet homme que je ne connaissais pas ce matin lorsque je me suis levée, j'étais sure qu'il m'apporterais quelque chose, de la joie sûrement, sentiment que j'avais pratiquement oublier. De l'amour aussi, et si rien de tous sa n'arrive, je serais heureuse quand même.
Lorsqu'il rompit le baiser, il ne dis rien. C'était mieux comme ça, je le regardais dans les yeux. Que dire de plus ? Il faisais nuit, c'était l'été ma saison favorite, tout le monde étais heureux et pour une fois je l'étais aussi. Je ne savais ni quoi faire ni quoi dire, mon cœur battais à une vitesse que je n'aurais jamais soupçonnée. Nous étions proche, je l'embrassais comme il l'avais fait pour moi, c'était la seule réponse que j'avais trouvé et elle m'avais bien plut, puis je rompis le baiser en chuchotant ces quatre mots :
-Alors, je serais ton étoile...
Sur cette promesse, les lumières de la fête s'éteignait, les gens s'en allais en riants, ou titubant pour certains. J'étais heureuse, que demander de plus ?

Fin

JOLIE HISTOIRE J ADORE

Temari est belle